Par l’organisation du pôle Formation 2017, Abdelhak
Essakout, président de la jeune chambre internationale de CasaImpact a fait une
formation autour du concept Japonais Omoiyari, le premier Avril 2017, à l’école
IMVL à Casablanca.
Omoiyari selon ce que j’ai retenu, est un concept Japonais qui traduit l’empathie. Il s’agit de se mettre à la place de l’autre, ressentir sa peine et essayer de faire quelque chose pour l’aider.
C’est donc un processus à trois étapes : Observer : observer la douleur, la peine ou le besoin de l’autre. Eprouver : partager cette détresse ou peine. Agir : faire quelque chose que l’autre aimerait bien qu’on fasse pour lui.
En sortant de la formation, j’ai vu un bus qui explose de gens, comme il est souvent le cas au Maroc, surtout pour les trajets des pauvres et démunis. J’ai vu jusqu’à présent quelques dizaines de vidéos qui expliquent les neurones miroirs et comment est ce que le cerveau humain est prédisposé voire « câblé » pour l’empathie, mais c’était peut être la première fois que je ressentais dans mon corps la chaleur et le bousculement, comme si j’étais plein dedans dans ce huis clos ! (Abdelhak es tu content maintenant :D ??)
Durant la formation nous avons aussi réfléchis à quelques questions : donne-t-on toujours de l’aumône à un mendiant ou non. La discussion a porté tantôt vers si le mendiant mérite ou non le don, tantôt vers la nécessité de créer des solutions plutôt durables. Mais il y a un philosophe qui est sorti du lot, comme toujours ! Selon lui, il faut dépasser l’hypothèse : le mendiant est un professionnel, et il ne fait que prétendre d’être misérable pour avoir l’argent des autres. Car nous aussi, nous prétendons d’être généreux, sans l’être constamment. Le dépassement consiste donc à oublier le calcul et donner. C’est au moins un push-up qui développe le muscle serviable et solidaire.
Je ne sais toujours pas quelle recette magique utilise Abdelhak dans ses formations, mais une chose est certaine : il sait parler et toucher son auditoire !
C’est génial à la JCI ! C’est un cadre magnifique où l’on peut avoir fun tout en s’ouvrant sur de nouvelles idées. Je n’ai jamais imaginé que l’on puisse discuter de sujets aussi grands et à ampleur internationale autour d’un café entre amis, à la JCI c’est juste cela la norme !
Omoiyari selon ce que j’ai retenu, est un concept Japonais qui traduit l’empathie. Il s’agit de se mettre à la place de l’autre, ressentir sa peine et essayer de faire quelque chose pour l’aider.
C’est donc un processus à trois étapes : Observer : observer la douleur, la peine ou le besoin de l’autre. Eprouver : partager cette détresse ou peine. Agir : faire quelque chose que l’autre aimerait bien qu’on fasse pour lui.
En sortant de la formation, j’ai vu un bus qui explose de gens, comme il est souvent le cas au Maroc, surtout pour les trajets des pauvres et démunis. J’ai vu jusqu’à présent quelques dizaines de vidéos qui expliquent les neurones miroirs et comment est ce que le cerveau humain est prédisposé voire « câblé » pour l’empathie, mais c’était peut être la première fois que je ressentais dans mon corps la chaleur et le bousculement, comme si j’étais plein dedans dans ce huis clos ! (Abdelhak es tu content maintenant :D ??)
Durant la formation nous avons aussi réfléchis à quelques questions : donne-t-on toujours de l’aumône à un mendiant ou non. La discussion a porté tantôt vers si le mendiant mérite ou non le don, tantôt vers la nécessité de créer des solutions plutôt durables. Mais il y a un philosophe qui est sorti du lot, comme toujours ! Selon lui, il faut dépasser l’hypothèse : le mendiant est un professionnel, et il ne fait que prétendre d’être misérable pour avoir l’argent des autres. Car nous aussi, nous prétendons d’être généreux, sans l’être constamment. Le dépassement consiste donc à oublier le calcul et donner. C’est au moins un push-up qui développe le muscle serviable et solidaire.
Je ne sais toujours pas quelle recette magique utilise Abdelhak dans ses formations, mais une chose est certaine : il sait parler et toucher son auditoire !
C’est génial à la JCI ! C’est un cadre magnifique où l’on peut avoir fun tout en s’ouvrant sur de nouvelles idées. Je n’ai jamais imaginé que l’on puisse discuter de sujets aussi grands et à ampleur internationale autour d’un café entre amis, à la JCI c’est juste cela la norme !
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